Prague jour 8 : "Le chauffeur nous as oublié ?"

Je me lève tranquillement, il est temps de profiter d’un dernier petit déjeuner avec les autres et de ranger nos affaires. On sacrifie à l’égout la la Staropramen et le Kofola restants. Mon caramel est déjà parti depuis un moment se promener, pour profiter du soleil.

Quand il revient, il nous reste un peu de temps pour se balader vite fait à deux. On en profite pour voir un peu les boutiques de la rue et faire les derniers achats de souvenir. Il fait encore froid, mais le soleil est agréable. On attends le chauffeur qui doit nous amener à l’aéroport dans la rue. Et les minutes passent… Et on commence à s'inquiéter un p’tit peu… Il s’est planté d’adresse, mais nous amènera souriant et avec une conduite plus tranquille que notre chauffeur de l’aller jusqu’à destination. La campagne est encore recouverte de neige, c’est étonnant, à Prague tout à fondu déjà. On se fait une petite réserve de Kofola à ramener en France pour faire goûter à la famille (spoiler : ils n’aiment pas du tout, ça nous en a fait plus.).

Et un retour en France tranquillou. On y serait bien resté un peu plus quand même, mais la routine nous attends.

Un petit bilan de ce voyage tout de même :
- Il est préférable de savoir parler anglais, sinon c’est la mouise. Un de nos amis ne parlant que français s’est reposé sur les autres pour pas mal de traduction.
- C’est dur, mais il faut s’avoir s’adapter et donc essayer un minimum de faire un effort pour la prononciation des mots en tchèque. (Ils savent direct que vous êtes français mais ils apprécient l’effort)
- N’hésitez pas à parler aux gens, ils sont fiers de leur patrimoine. Ça les amuse de parler en français aussi. Ne vous fiez pas à leur air renfrogné ^^
- Repérer le vocabulaire pour manger, ne vous faites pas piéger.
- Si vous voulez tout voir, tout visiter, ne faites pas comme moi : levez-vous tôt.
- N’hésitez pas à faire des détours et s’éloigner du centre-ville pour les visites et les courses
- Regardez bien la météo, la neige au mois de mars quand on vient du sud de la France, ça surprend.